mercredi 31 décembre 2014

Le mur le plus dangereux de la place tombe tout seul

VILLERS-COTTERETS (02). La place Ernest d’Hauterive, appelé parking du « petit Leclerc » par beaucoup, est située en plein cœur du vieux Villers, et plusieurs des maisons qui la bordent sont destinées à la démolition.
L’un des murs, plus dangereux que les autres devait être démoli cette semaine, selon les travaux programmés. Mais les rafales de vent de samedi ont précédé les pelleteuses et ont fait le travail.
Un périmètre de sécurité avait été établi dernièrement à l’aide de barrières, en attendant les travaux.

Plusieurs démolitions prévues

Finalement, le mur s’est écroulé tout seul, mais sans dégâts. « L’effondrement a eu lieu exactement dans le périmètre prévu et déclaré dangereux, à 10 cm près. Heureusement il n’y avait personne à proximité ni aucune voiture », observe le maire Franck Briffaut venu surveiller le déblaiement des pierres avec Nathalie Patriarca, chef des ateliers municipaux, récemment nommée à ce poste.
Ce mur tombé un peu plus tôt que prévu, est la première démolition du quartier qui fait l’objet d’un vaste projet de réhabilitation et d’embellissement afin que l’arrière de la place du Docteur-Mouflier soit un peu plus attrayant.
http://www.lunion.com/region/le-mur-le-plus-dangereux-de-la-place-tombe-tout-seul-ia18b0n464036

mardi 30 décembre 2014

Feu vert pour le boulevard urbain à Villers-Cotterêts

VILLERS-COTTERETS (02). La Ville a obtenu du conseil général l’engagement que plus rien ne s’opposait à la réalisation du contournement tant attendu depuis vingt ans
Franck Briffaut est un maire heureux. Le projet de boulevard urbain, dans les cartons depuis environ vingt ans, va enfin sortir. Ce contournement évitera le trafic, notamment des camions, en centre-ville. L’édile a rencontré Yves Daudigny, le président du conseil général de l’Aisne, voici quelques jours. « Il m’a confirmé que l’ouvrage se ferait dans les mêmes conditions de partage, soit 80 % financés par le conseil général, 20 % par la commune. »
Plusieurs bonnes nouvelles du point de vue du maire : tout d’abord, le Département conserverait la maîtrise d’ouvrage. Ensuite, après la découverte de terrains pollués, un nouveau tracé a été validé, ce qui évite de passer entre le lycée européen et le gymnase. Sans oublier que de ce boulevard urbain dépend aussi le projet de nouveau quartier qui lui est adossé, les Portes du Valois. D’ailleurs, les études d’impact seront lancées sans perdre de temps.

Deux phases de travaux

Le boulevard urbain se fera en deux phases. La plus délicate, tronçon de deux kilomètres entre le pont de Pisseleux et le lycée européen, nécessitera d’obtenir la maîtrise foncière et de lancer de nouvelles procédures et études complémentaires. D’après Franck Briffaut, les travaux ne commenceront pas avant trois ans. Ce sera la partie la plus chère : 1,2 million d’euros. Les travaux sur la partie qui pose le moins de problème (entre le lycée européen et le collège Dussuchal) pourraient bien démarrer en 2016. Sa mise en service permettrait déjà de détourner du trafic. Budget prévisionnel : 745 000 euros. Pour assurer sa participation de 20 %, le maire a déjà décidé que la commune aurait recours à l’emprunt « compte tenu des taux très bas et que beaucoup d’emprunts tombent cette année-là, argumente-t-il.  C’est un investissement sur l’avenir qui va permettre à Villers-Cotterêts de se développer. C’est pour cela que pour l’instant, on n’a rien lancé d’autre. D’autant qu’après, il y aura le château. » Il sera difficile de baisser les impôts dans ces conditions, mais Franck Briffaut assure qu’ils seront au moins stabilisés.
Le maire Front national reste par ailleurs mobilisé sur la question du double échangeur de la RN2, non prévu par l’État dans le cadre du doublement de la Nationale 2, mais qui semble nécessaire pour désengorger le quartier de la Route-de-Vivières.
http://www.lunion.com/region/feu-vert-pour-le-boulevard-urbain-a-villers-cotterets-ia3b26n464045

RESSORTS BERNARD


dimanche 28 décembre 2014

Site de la ville de Villers Cotterêts

Bonjour à tous !
le site de la mairie de villers Cotterêts ne répond plus
voici ce que Google nous donne quand on le sollicite pour avoir le site de la mairie :

Le site Web ne peut pas afficher la page

 HTTP 500
 

Causes les plus probables :

  • Le site Web est en cours de maintenance.
  • Le site Web présente une erreur de programmation.

batterie fanfare de villers cotterets

vendredi 26 décembre 2014

MONTGOBERT (02). Collision près des travaux

Un accident a eu lieu hier, un peu avant 21 heures, à Montgobert, sur la RN2, à la hauteur des travaux actuellement en cours. C’est justement dans le secteur de chaussée rétrécie à seulement deux voies que deux voitures se sont percutées en se croisant. Le véhicule qui venait de Paris a touché celui qui venait de Soissons, le projetant dans le bas-côté. Deux blessés, le conducteur de la première voiture et un enfant de 3 ans, ont été transportés à l’hôpital de Soissons.
Mais la circulation a été fortement pertubée à cette heure de retour de fêtes de Noël.
http://www.lunion.com/region/montgobert-02-collision-pres-des-travaux-ia231b0n462519

mercredi 24 décembre 2014

Deux accidents impliquant un cerf et une biche en forêt de Compiègne

Deux accidents se sont déroulés sur la D 973 en forêt de Compiègne. Les deux sont la résultante du passage de cervidés sur la route. Le premier a nécessité une cohorte de secours. Il était 13 h 30 quand un cerf aurait sauté sur une Peugeot 3008 avant de s’écraser sur une Audi A 5 qui venait en sens inverse, éventrant le toit.

La passagère avant du véhicule, âgée d’une soixantaine d’années, a été grièvement blessée à la tête et a dû être transportée en hélicoptère au centre hospitalier d’Amiens. Les deux autres occupants de la voiture, âgés de 69 ans et habitant à Pierrefonds, ont été légèrement blessés et conduits aux urgences de Compiègne. Une heure après, vers 14 h 30, à un kilomètre environ du premier accident un second est survenu, sur la même route, impliquant une biche cette fois. « J’ai aperçu une masse noire et ma voiture a été désorientée. J’ai vu derrière moi cinq ou six cervidés, qui traversaient la route, paniqués. Je venais de taper une biche, ce devait être la première de la harde. Elle a arraché mon rétroviseur. Et maintenant, elle est là, sur le bord de la route en train d’agoniser », se désole Christian, un habitant de Compiègne, encore sous le choc à côté de sa Chrysler. Après s’être chargés d’embarquer le cerf mort du premier accident dans leur pick-up, des employés de l’ONF (Office national des forêts) arrivent sur place pour charger la biche. Les deux animaux sont directement conduits à l’équarrissage. Un agent de l’ONF, qui effectuait une battue aux cervidés, a établi une attestation d’accident pour que le conducteur puisse la fournir à son assurance en vue d’une indemnisation.
http://www.leparisien.fr/oise-60

mardi 23 décembre 2014

Les casernes de pompiers n’ont pas toutes le même sort dans le Soissonnais

1 Soissons. La situation est connue. La caserne a été construite il y a 34 ans. Jusqu’à un certain temps, il n’y avait aucun souci. Jusqu’au jour où la caserne s’est vue envahie par les eaux. La cause, la surélévation de la zone de stockage de la verrerie voisine. Résultat, l’Aisne s’étend dans la caserne. Si c’est idéal pour entraîner l’équipe des plongeurs, cela n’aboutit qu’à passer sur TF1 dans l’image du jour. Sans parler des problèmes de logement des équipes de garde. Ou des instruments de cuisson qui datent de la même époque de construction. Or, pas de chance, le centre de secours principal (CSP) n’est pas dans les priorités de construction du service départemental d’incendie et de secours (SDIS). Le prochain, si tout va bien, sera celui de Laon. Pourtant Soissons possède le même point noir : une mauvaise situation pour accéder rapidement aux sorties de ville. La précédente municipalité avait trouvé un terrain mais le projet n’avait pas été plus loin.
2 Villers-Cotterêts. Le centre de secours du lieutenant Gros se situe juste en-dessous des CSP en taille d’hommes et d’interventions. En clair, il est dans le top 6 du département. C’est un des centres complètements obsolètes puisqu’il date, pour sa partie la plus ancienne, de 1920 ! C’est une partie d’un ancien presbytère. A croire qu’il n’y a pas eu assez de prières ... La partie la plus récente à quand même un demi-siècle. Comme ailleurs, le centre est victime de la féminisation des sapeurs-pompiers volontaires, et donc de l’obligation des vestiaires, douches séparés. Et en plus, des locaux doivent être adaptés pour l’apprentissage des jeunes sapeurs-pompiers qui sont, pour de tels centres, une obligation s’ils veulent maintenir l’effectif. La ville dispose d’un terrain adapté pour construire une nouvelle caserne. Le maire l’a répété lors de la dernière Sainte-Barbe. Mais ne financera pas en intégralité un centre nouveau.
3 Vailly-sur-Aisne. Ici aussi, de sérieux travaux sont à prévoir. Les hommes et femmes du capitaine Jean-Michel Fortin, commandant du centre, ont des bâtiments qui ressemblent plus à un hangar amélioré qu’une véritable caserne. Comme Soissons et Villers-Cotterêts, un projet existe mais, pour l’instant, il est dans les cartons faute de financeurs à niveau. Le centre a pourtant besoin d’une extension digne d’un centre qui fêtera sa sainte le 4 janvier. Surtout pour là aussi, accueillir et former les jeunes sapeurs pompiers. 4 Braine . Ce sont les heureux veinards du secteur puisqu’ils sont dans une caserne neuve qui sera inauguré en 2015. Pour l’arrondissement de Soissons, c’est la plus récente. 5 Hartennes et taux. Le centre de secours du canton d’Oulchy est aussi relativement récent. Il a été construit par la ville avec l’aide du Conseil général et d’une enveloppe sénatoriale. Placé à proximité de la D1, il est opérationnel et le SDIS a participé et des travaux d’entretien. 6 Vic-sur-Aisne . Comme Hartennes-et Taux, le centre de Vic a été construit avant la départementalisation. Là, c’est un syndicat de plusieurs communes qui avait financé les travaux. Là aussi, le SDIS amène son écot pour l’entretien du centre. Des travaux en courssur d’autres casernes Au service d’incendie et de secours, le discours est connu. Et de rigueur. Oui, il y a des travaux en cours mais on ne peut pas faire tout. Déjà, l’actuel programme qui se termine, sur le secteur de Soissons, par la construction de la caserne de Braine, a été étendu ou plutôt distendu. En clair, la réalisation a duré plus longtemps que prévu. Et construire des nouveaux centres de la taille de ceux de Soissons et Villers-Cotterêts coûterait plusieurs millions d’euros. Financements, restriction oblige, qui ne sont pas là… Et sans doute pour plusieurs années.
http://www.lunion.com/region/les-casernes-de-pompiers-n-ont-pas-toutes-le-meme-sort-ia3b26n460918

vendredi 19 décembre 2014

L’explication du budget de Villers-Cotterêts façon nouvelle municipalité

La séance du conseil municipal comprenait 40 délibérations. La seule où il y a eu débat a été celle de présentation du budget.
P our un ménage, même si c’est symbolique, il a besoin d’un signe positif. Notre but, est de faire rester les habitants à Villers-Cotterêts.  » Dans ses explications de politique de son budget, Franck Briffaut a été clair et sans détour. Oui, il continue d’appliquer des petites baisses, « les gestes symboliques » aux taxes locales. Pour l’année à venir, les taux seront les suivants : 19,74 % pour la taxe d’habitation, 23,16 pour le foncier bâti et 77,64 pour le non bâti. Des taux en baisse légère que l’opposition n’a pas manqué de pointer du doigt pour soit signifier le manque de rentrée fiscale à venir, soit comme des gestes « trop timides ».
Là, la réponse a donc été sans détour : «  Aujourd’hui, il existe une partie de l’assiette (NDLR : le nombre de gens qui subissent l’impôt) sur laquelle on ne peut plus taper. Nous, notre credo est d’élargir cette assiette. Nous savons très bien que le rendement de ces baisses n’est pas très significatif. Nous ne sommes pas tombés à la bonne période, dans le bon contexte. Nous prenons un risque qui nous obligera peut-être, à rectifier le tir un jour. Nous verrons bien.  » Mais le nouveau maire n’a pas oublié de saluer le travail de l’ancienne municipalité qui avait bien œuvré au point de vue de l’endettement de la commune. « Nous allons avoir des emprunts qui vont se terminer bientôt. La dette de la commune est raisonnable. Et nous pouvons donc prendre ce risque d’allégement des impôts. » Car des charges non prévues, notamment de personnel avec la reprise des trois salariés s’occupant des centres de loisirs sans hébergement à la suite du retrait de la fédération Léo-Lagrange
http://www.lunion.com/region/l-explication-du-budget-de-villers-cotterets-facon-ia3b26n459174

Récupérer un art populaire.


mercredi 17 décembre 2014

Zorro est arrivé

Voici encore une anecdote ressortie de ma mémoire ... mon adolescence défile ... et le petit gars de l'école de la rue Démoustiers en a eu des aventures...Je devais avoir 13 ou 14 ans...et cette année là un collègue de mon père fêtait le baptême ou la naissance  de son jeune enfant. Mes parents et d'autres collègues y étaient invités un soir...moi j'étais chargé de garder ma sœur et mes jeunes frères. On me faisait confiance...
Le soir, plus tard, alors que mes frères et sœur dormaient le téléphone sonne ...c'était mon père que demandait des nouvelles de la maisonnée.
-"Tout le monde dort"
- c'est bien...alors si tu veux, tu peux venir nous rejoindre...il y a Yves et François qui sont là !
Me voila donc parti chez le collègue de mon père.
Quand je suis arrivé, la fête battait son plein ..."Zorro est arrivé..." chantaient les invités...il y avait là plusieurs collègues, leurs épouses et les enfants, dont deux de mes camarades Yves et François les fils du chef de district de l'EDF de Guise. Il y a aussi des filles que je ne connaissais pas.
Contents de me voir Yves et François m'offrent un verre...je n'avais jamais bu d'alcool de ma vie...Je ne sais pas quelle breuvage j'ai bu ce soir là...mais l'effet fut désastreux...je n'étais plus moi même...j'entendais les autres chanter "Zorro est arrivé" je voyais Yves  embrasser des filles sur la bouche et  je distinguais François en train de boire et de me servir...Vous l'avez compris, j'étais saoul ! Il ne m'a pas fallu grand chose car je ne buvais que du lait fraise habituellement...
Le retour fut laborieux...j'ai été chargé dans une voiture sans ménagement et là Zorro est parti !
Le lendemain j'étais malade ... et j'ai juré que je ne boirais plus une goute d'alcool de ma vie !!!
J'ai tenu jusqu'à l'âge de 20 ans...un soir, après une marche de nuit à Lure, le lieutenant a payé un verre au foyer...Comme il n'y avait que de la bière Mutzig de servie, j'ai bu une bière...et ...j'ai été malade !!!!
Zorro est arrivé!!!

dimanche 14 décembre 2014

Deux blessés, dont un grave, dans une collision frontale à Coyolles

Article complet sur le journal l'Union ou sur ce lien .... http://www.lunion.com/region/deux-blesses-dont-un-grave-dans-une-collision-frontale-ia3b26n456365

Ce tronçon de la RN 2, à Coyolles, où une ligne droite est en léger dénivelé, est dangereux. Ce risque avait notamment été pointé par le capitaine Thilliez, commandant de la compagnie de gendarmerie de Soissons, lors de la manifestation des élus pour le doublement de la nationale à cet endroit même, samedi 6 décembre. Cela a été vérifié vendredi soir. Une violente collision a eu lieu vers 18 heures, juste là.
Un véhicule venant de Soissons a dévié de sa trajectoire, pour une raison pour l’instant inconnue, et a percuté un véhicule qui venait en face. Trois personnes sont impliquées dans l’accident et deux d’entre elles ont été transportées au centre hospitalier. Deux Afghans se trouvaient dans le véhicule circulant en direction de Paris. C’est l’un d’eux qui a été le plus grièvement blessé. Son pronostic vital n’est toutefois pas engagé.
Sur place pour leur porter secours, les pompiers de Villers-Cotterêts ont agi aux côtés de leurs homologues de Crépy-en-Valois, avec le chef de groupe de Soissons et le Smur de l’Oise. Une ambulance a été diligentée par chacun des centres de secours ainsi qu’un véhicule de secours routiers.
Huit gendarmes de la compagnie de........ LA SUITE SUR CE LIEN ................ http://www.lunion.com/region/deux-blesses-dont-un-grave-dans-une-collision-frontale-ia3b26n456365

Château de Pierrefonds, un lieu une histoire


samedi 13 décembre 2014

Villers-Cotterêts : le très haut débit privilégié

Alexandre de Montesquiou, le maire de Montgobert et ancien vice-président de la communauté des communes de Villers-Cotterêts/Forêt de Retz a été élu président à la place de Jean-Claude Pruski. Il fera du très haut débit un point essentiel de son programme. 

"L'Internet à très haut débit, un facteur indispensable"

Élu à la majorité absolue avec 25 voix contre 17 pour son homologue du Front National, Franck Briffaut, Alexandre de Montesquiou a signalé son intention de travailler en cohésion avec les divers partis politiques. « Je ne prête pas d’attentions aux couleurs politiques. On travaillera en unisson. Villers-Cotterêts sera tout autant concernée dans ce mandat de six ans. C’est tout un territoire qui doit fonctionner ensemble. », affirme-t-il.
Et pour le développement de la région, il fait de l’Internet très haut débit et de la fibre optique un point essentiel de son programme. « Je refuse toute politisation lors de nos débats à venir et autres travaux. Je veillerai également à maintenir un bon équilibre entre les communes rurales et Villers-Cotterêts, annonce Alexandre de Montesquiou. On veillera à la bonne tenue du Scot (schéma de cohérence territoriale) et à accueillir de nouvelles entreprises et développer le tourisme. L’arrivée de l’Internet à très haut débit, voire de la fibre optique, est un facteur indispensable si l’on souhaite tendre vers ces développements. »
pour en savoir plus


http://www.lafibreoptique.com/en-france/23042014,villers-cotterets-le-tres-haut-debit-privilegie,1615.html

vendredi 12 décembre 2014

Un conducteur grièvement blessé dans une sortie de route à Pierrefonds

Un accident de la circulation s’est produit ce mercredi, peu avant 17 heures, sur la D 973, à la sortie de Pierrefonds (Oise), près de Compiègne, en direction de Retheuil. Une voiture a effectué une sortie de route et a fini sa course dans un champ. Le conducteur a été grièvement blessé et a dû être hospitalisé à Compiègne.

A bord de la voiture se trouvaient également deux enfants en bas âge lesquels, heureusement, n’ont pas souffert de l’accident.

http://www.leparisien.fr/oise-60

jeudi 11 décembre 2014

Le maire Franck Briffaut veut (lui aussi) sa crèche

hebergement d'image VILLERS-COTTERETS (02). Le maire FN Franck Briffaut soutient Robert Ménard, qui a installé une crèche dans le hall de la mairie de Béziers. Élu avec l’aide du FN, Robert Ménard s’oppose au préfet de l’Hérault qui lui a demandé jeudi de retirer la crèche afin de respecter la loi sur la laïcité dans l’espace public. Le premier magistrat cotterézien déclare qu’il a, lui aussi, l’intention de placer la scène reproduisant la naissance du petit Jésus dans son hôtel de ville. « Il n’y en avait pas à Villers, mais par solidarité, je compte en installer une cette semaine, peut-être dans le hall ou bien dans le bureau des adjoints ou le mien, je ne sais pas encore. » L’élu explique qu’il s’agit là « d’un légitime réflexe d’autodéfense quand on nous attaque ». « On n’est pas obligés d’abdiquer nos racines, nos cultures et nos traditions parce que quelques magistrats s’offusquent de la présence d’une crèche dans une mairie. La laïcité devient dangereuse quand elle devient une arme pour nous couper de nos traditions. » L’opposition n’est évidemment pas de cet avis sur cette polémique. Jean-Claude Pierre, élu socialiste, moque la décision : « Ça ne rime à rien, une crèche, c’est fait pour être vu. Qui va la voir dans le bureau du maire ou des adjoints ? Et même le hall, il sera fermé le soir. Encore, si on faisait ça sur la place publique comme à La Ferté-Milon pourquoi pas, mais là ça n’a pas de sens. » Norbert Poirier (centre gauche) ajoute que c’est une « provocation inutile » qui n’est pas faite pour entretenir le « vivre ensemble » : « Je suis catholique de naissance, si je veux voir une crèche, je vais juste à côté, à l’église ! » Il voit même là une manière de politiser la religion : « C’est encore une façon pour les élus du FN de faire parler d’eu x. »
http://www.lunion.com/region/le-maire-franck-briffaut-veut-lui-aussi-sa-creche-ia3b26n454234

lundi 8 décembre 2014

Merlin : La série britannique a été tournée... en France, au château de Pierrefonds !

Depuis 2008, les cinq saisons - dont la dernière commence ce samedi soir à 20h50 sur NRJ 12 - de la série britannique Merlin
ont été tournées dans une magnifique forteresse située près de Compiègne. On vous la fait visiter…
Ce samedi 6 décembre à 20h50 a débuté sur NRJ 12 la cinquième et ultime saison en 13 épisodes de la série britannique Merlin. Trois ans se sont écoulés depuis que le roi Arthur a retiré l'épée Excalibur de la pierre et a repris le royaume de Camelot. La paix règne mais Morgane, la demi-sœur du souverain, dévorée par la haine, prépare son retour au pouvoir. Alors qu'Arthur et Merlin, le magicien, respectivement incarnés par Bradley James et Colin Morgan, sont capturés par des brigands, lors d'une expédition au château d'Ismere, Gauvain et Perceval sont faits prisonniers par Morgane et Ruadan.  Suspense, action et amour rythment cette ultime saison dont le final est diversement apprécié par les fans de la série.

Vous ne le savez peut-être pas mais Merlin* a été tourné au château de Pierrefonds situé non loin de la forêt de Compiègne dans le département de l'Oise. "C'est un château de conte de fées" s'est enthousiasmé Johnny Capps, le créateur de la série, quand il l'a découvert après avoir cherché le site idéal dans bien des pays d'Europe.

Cette forteresse médiévale de 90 m de long pour 110 de large possède huit tours d'enceinte et chacune a le nom d'un héros légendaire, Charlemagne, Godefroy de Bouillon, Jules César et bien sûr Arthur. Le château est aussi célèbre pour son chemin de ronde à double niveau et à l'intérieur de l'enceinte, on peut admirer un beffroi, un donjon et une cour d'honneur, idéal pour un tournage au temps du bon roi Arthur !

Au XIIe siècle, le château était le domaine du roi Philippe Auguste puis au XIVe celui de Louis de Valois. Au XVIIe, à la demande de Louis XIII, il est démentelé par Richelieu. Il faudra attendre le XIXe pour que Napoléon rachète les ruines mais il ne sera restauré qu'en 1857 par l'architecte Eugène Viollet-le-Duc à l'initiative de Napoléon III. On peut d'ailleurs y admirer les appartements impériaux avec, notamment, les chambres de l'impératrice Eugènie et de Napoléon III.

Il est aujourd'hui un musée ouvert au public et il a accueilli de nombreux tournages de films notamment
Les Visiteurs en 1993, Jeanne d'Arc de Luc Besson en 1999 et bien sûr Merlin. Plus récemment, c'est le tournage du mariage tant attendu d'Hélène dans Les Mystères de l'amour qui s'y est déroulé. Un peu de patience, la diffusion sur NRJ 12 est pour bientôt

dimanche 7 décembre 2014

RN 2 : déblocage des travaux

Le prochain contrat de plan État Région, dévoilé dans quelques jours, amène une très bonne nouvelle : les chantiers de la RN 2 sont financés et seront clos en 2020.
Jean-Marie Carré et les autres élus du Soissonnais vont pouvoir emmener le champagne samedi matin à Coyolles. Ils voulaient s’offrir une action forte de protestation contre l’arrêt ou le ralentissement des travaux de mise à deux fois deux voies de la RN 2, cette bonne nouvelle a devancé leur action. Porte parole de cadeaux anticipés de Noël, Marie-Françoise Bechtel, la députée de la 4e circonscription de l’Aisne.
«  J’ai été reçue en fin de semaine dernière au cabinet d’Alain Vidalies, secrétaire d’État en charge des Transports, pour faire le point sur le dossier de la RN2, explique la parlementaire, et le cabinet du ministre m’a confirmé que l’État s’engageait sur une somme importante dans le cadre du contrat de Plan Etat-Région. Et que cette somme permettait le financement des 4 chantiers restant à achever. À savoir, Gondreville, Vaumoise, Villers-Cotterêts, Péroy-les-Gombries. Cet engagement permettra l’achèvement de la RN 2 au titre du Contrat de Plan (2015-2020) selon un phasage qui sera décidé au niveau régional.  »
Menacée par l’abandon de l’écotaxe puis de l’incertitude d’un financement provenant d’une contribution des sociétés d’autoroute, l’avancée des travaux a été une des priorités de ce nouveau plan de 6 ans. «  Simplement pour rattraper un retard du gouvernement dans les années passées, qui avaient laissé tomber jusqu’en 2008  » glisse l’ancienne directrice de l’ENA qu’est Marie-Françoise Bechtel. «  L’engagement de l’État se fera au niveau nécessaire. La question du financement, en suspens avec notamment l’abandon de l’écotaxe, ne se pose plus. » Restera ensuite à déterminer le « phasage » avec la Région, c’est-à-dire l’échéancier des travaux sur les différents secteurs.
Si la députée se félicite de ce résultat, somme d’efforts à tous les niveaux, elle encourage la communauté d’agglomération du Soissonnais à ne pas se contenter de cette belle nouvelle.
«  Nous devons avoir des projets autres que les infrastructures routières. Ce n’est le tout du développement du SoissonnaisPar exemple, sur Chauny-Tergnier, le projet de port bi-modale avec Le Havre va marcher. Le Soissonnais doit avoir des projets de ce type aussi. »
Le Soissonnais a été classé dans les 10 territoires à traiter en urgence à travers les plans d’accompagnement des mutations économiques (le Pam’s dixit la députée). Si les crédits accordés ne correspondent pas à des projets forts, avoir des routes qui ne mènent vers aucun avenir ne sera pas d’un grand secours.

http://www.lunion.com/region/rn-2-deblocage-des-travaux-ia3b26n452049

mardi 2 décembre 2014

SOISSONS (02). On se mobilise pour le chantier de la RN2

Des chantiers de mise à 2 x 2 voies de la RN2 entre Soissons et l’Oise sont à l’arrêt. Les élus de l’Aisne et de l’Oise, ceux de l’arrondissement de Soissons en tête, vont manifester samedi matin à Coyolles, près du pont de Gondreville, afin de faire pression sur l’État pour les travaux se poursuivent. C’est la suppression de l’écotaxe dernièrement qui est à l’origine de leurs inquiétudes. En effet, les fonds collectés devaient entre autres servir au doublement de la RN2. Les principaux chantiers en cours sur la nationale reliant Paris à Bruxelles sont  les déviations de Gondreville, Vaumoise et la mise en 2 x 2 voies de celle de Villers-Cotterêts.
La manifestation se déroule samedi à 10 h 30, route des 14 frères à Coyolles. Départ en car (gratuit) de Cuffies aux Terrasses du Mail à 9 h 30 et du parc Gouraud à Soissons à 9 h 45. Réservations au 03 23 53 88 40.
Renseignements  : http://www.agglo-soissonnais.com/demo/blog/

http://www.lunion.com/region/soissons-02-on-se-mobilise-pour-le-chantier-de-la-rn2-ia231b0n449557

quart de final N3 villers cotterets par Marina twirling 056