mercredi 31 janvier 2018

CINÉSOUPE

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Villers-Cotterêts

Belles rencontres et joli succès pour l'édition 2018 du CinéSoupe à Villers-Cotterêts au cinéma Les Clubs avec les scolaires dans l'après-midi puis le public en soirée.

Patrimoine en péril : Stéphane Bern et le Sud de l’Aisne

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hebergement d'image Le député de la 5ème circonscription travaille avec Stéphane Bern sur 2 dossiers du Sud de l’Aisne…
Les membres de l'association « pour le château de Villers-Cotterêts »et le député Jacques Krabal ont rencontré Stéphane Bern dans le cadre de sa mission : Patrimoine en péril  sur le Chateau royal Francois 1er de Villers-Cotterêts.
L'homme de terrain à l'affut de tous les financements possibles a profité de l'occasion pour aborder la rénovation de l'hôtel Dieu de la ville Château-Thierry !
 lire sur le blog vuduchateau.com                merci Laurence 
Lire la suite > http://www.vuduchateau.com/actu-6688-patrimoine-en-p-ril-st-phane-bern-et-le-sud-de-la-aisne.html hebergement d'image

mardi 30 janvier 2018

Appel à témoins (vol de Clio)

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Villers-Cotterets (02)
Dans la nuit de Dimanche a Lundi, une Renault Clio a été volée a Villers-Cotterets (02). Le Véhicule a été Retrouvé au fond du Canal de L'Ourcq a Mareuil-sur-Ourq (60) par la Gendarmerie.
Le propriétaire lance un appel a Témoins.

HOMMAGE AU GÉNÉRAL DUMAS

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Dimanche 4 février à 10h30 à la plaque du Général Dumas (rue du Général Mangin)

lundi 29 janvier 2018

Villers-Cotterêts CINÉSOUPE

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Villers-Cotterêts


CINÉSOUPE 

Le cinéma Les Clubs vous invite en famille, entre amis ou entre voisins à voyager à la découverte d'un succulent programme de courts métrage suivi d'un échange autour d'une soupe aux doux légumes de saison !
ENTRÉ LIBRE
MARDI 30 JANVIER - 19H

Dans les coulisses de la traque des Kouachi

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Intervention pour prêter main-forte au GIGN qui est déployé dans l’Aisne, près de Villers-Cotterêts
Patron du Raid entre 2013 et 2017, Jean-Michel Fauvergue a écrit un livre où il évoque notamment la traque des frères Kouachi dans la Marne, l’Aisne et les Ardennes après l’attentat contre Charlie Hebdo.

Jamais un chef du Raid n’aura dû faire face à autant d’attaques terroristes en quatre ans. À Jean-Michel Fauvergue, patron de cette unité d’élite de la police de 2013 à 2017, l’idée est venue d’en faire un livre. Pas tant pour parler de son parcours que de « ses » hommes. «  Je voulais apporter un aspect humain à tous ces événements, confie l’ancien policier. Je voulais montrer la vie de l’intérieur. Montrer que derrière les cagoules et les casques il y avait des hommes, des femmes, des familles exceptionnels.  »


Son livre permet aussi, et surtout, de revenir sur ces événements qui ont marqué à jamais les Français, à commencer par l’attentat contre Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015. La traque des frères Kouachi emmènera ses hommes dans la Marne, les Ardennes et l’Aisne, avec une médiatisation qui, trois ans après, laisse encore perplexe l’ancien patron du Raid.







« Il y avait peut-être 200 journalistes à Reims. On se croyait au départ d’une étape du Tour de France ! »



Nous sommes en milieu d’après-midi, ce 7 janvier 2015, quand Jean-Michel Fauvergue reçoit un coup de fil du directeur général de la police nationale. L’ordre est donné d’envoyer des hommes à Reims et Charleville-Mézières, où les fuyards ont des attaches familiales. «  Nous filons à Reims avec deux colonnes du Raid tandis que mon premier adjoint part à Charleville où une colonne de l’antenne du Raid de Lille doit le rejoindre. À un moment, j’aperçois, dans les rétroviseurs, deux motos qui nous suivent. J’espère que ce sont des motos taxis, mais l’un des passagers nous filme ! Je me dis que ce n’est pas possible. On a massacré leurs collègues à Charlie Hebdo, on a besoin d’une certaine discrétion pour essayer d’arrêter les auteurs de ce massacre et eux, ils sont en train de nous filmer ! On les a bloqués au péage. Quand on arrive à Reims, deux journalistes d’une chaîne de télévision nationale sont là. Nos collègues qui font route vers Charleville-Mézières sont plus tranquilles. »


Jean-Michel Fauvergue se dirige alors vers la caserne des CRS de Reims, où une partie de ses hommes est installée. «  Je pensais que cela allait être plus cool mais en arrivant devant, il y avait peut-être 200 journalistes. On se croyait au départ d’une étape du Tour de France ! Je n’avais jamais vu ça.  » Le patron du Raid sort alors à la rencontre des médias pour leur expliquer la dangerosité de l’intervention : soit il n’y a personne dans les logements visés et tout se passe bien, soit les Kouachi sont là, prêts à combattre, et alors tout peut arriver. Malgré les tentatives de mettre à l’écart les reporters, les hommes du Raid se retrouvent avec des journalistes à quelques mètres seulement derrière eux. «  Il n’y avait aucun terroriste armé dans les appartements. Une chance, car tout cela aurait pu très mal tourner…  » À Charleville-Mézières, le Raid intervient plus tranquillement.


« À un moment, cela aurait pu très mal tourner »



L’opération terminée, tout le monde rentre à Paris. Le lendemain matin, Jean-Marie Fauvergue comprend, lors du débriefing avec son patron, que la présence des médias la veille, à Reims, n’a pas du tout été appréciée par le ministre de l’Intérieur. Bernard Cazeneuve recadre tous les hauts responsables de la police et de la gendarmerie pour éviter de nouvelles fuites.


Ce 8 janvier, le Raid est à nouveau sollicité pour, cette fois, prêter main-forte au GIGN qui est déployé dans l’Aisne, près de Villers-Cotterêts, où les terroristes ont été repérés après avoir braqué une station-service. «  On se répartit les zones. Nous ratissons les sous-bois, fouillons quelques maisons suspectes. Là encore, nous tombons sur des dizaines de journalistes. À un moment, cela aurait pu même très mal tourner car, dans la nuit, on nous signale une voiture correspondant à celle des Kouachi. À son bord, deux hommes. On y voit mal. Les passagers ne bougent pas… nous les braquons avec nos armes. Ce n’étaient pas les terroristes mais deux jeunes journalistes… C’est totalement irresponsable car cela leur faisait prendre des risques et nous, cela nous a fait perdre un temps précieux !  » Le lendemain, une colonne du Raid, restée dormir dans un hôtel de Soissons, est à nouveau mobilisée. Les frères Kouachi sont en effet sortis des bois. Les différents barrages les poussent à se retrancher dans l’imprimerie de Dammartin-en-Goële.


La suite, on la connaît. C’est l’assaut du Raid à Vincennes qui permet de libérer les 26 otages de l’Hyper Cacher tandis que les Kouachi sont abattus alors qu’ils sortaient de l’imprimerie pour « affronter » les forces de l’ordre.
Dans les coulisses de la traque des Kouachihttp://www.aisnenouvelle.fr/65284/article/2018-01-28/dans-les-coulisses-de-la-traque-des-kouachi

lundi 22 janvier 2018

INFO / INONDATIONS

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Le niveau de l'eau est monté par endroits notamment dans le sud de l'Aisne. Ici, des photos d'une auditrice, Sandra, du village de Launoy. Chez vous comment c'était aujourd'hui ?
#inondations #Aisne

Croix Rouge : Campagne de porte à porte à Villers-Cotterêts

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CROIX-ROUGE FRANÇAISE 

Campagne de porte à porte à Villers-Cotterêts


mercredi 17 janvier 2018

Accident Villemontoire

Aisne-Info


Villemontoire, sur la D1280, direction Chaudun.
Les secours sont engagés pour un accident de la route, impliquant un seul véhicule, sur le bas côté.

Un concert haut en son et en émotions !

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Les saxophones à l’honneur avec Métis...
Le Quatuor de Saxophones Mètis se produira le vendredi 19 janvier à 20h00, à la salle polyvalente de Vic-sur-Aisne.
En 2016, il avait déjà enchanté l'église Saint-Clothilde à Vivières grâce à la diversité de son répertoire. Emotions garanties.

A la découverte des saxophones

Le Quatuor Mètis a été fondé il y a un peu plus de 2 ans « pour le plaisir de faire découvrir le, ou plutôt les saxophones et leur répertoire », comme aime à le préciser Héloïse Golhen, membre du groupe et professeur à l'École de Musique Intercommunale. Instrument privilégié du jazz, le saxophone est également un instrument classique. Cet événement permettra à petits et grands, professionnels ou amateurs, de découvrir toute la famille des saxophones : soprano, alto, ténor et baryton.
Clin d'oeil musical à l'année France-Colombie, le programme alliera musique écrite et improvisations, œuvres originales et transcriptions aux rythmes et mélodies d'Amérique latine. D'Arturo Màrquez à Rolando Budini, en passant par Julio Castillo et Aldemero Romero, vous apprécierez un concert haut en son et en émotions !
De gauche à droite : Romain Meunier, Héloïse Golhen, Sebastián Sarasa-Molina et Natsumi Takahasmi
Entrée libre.

Une rencontre avec les scolaires

A l'initiative de la Communauté de Communes Retz-en-Valois, cette journée sera également marquée par des séances de sensibilisation auprès du jeune public. Les élèves scolarisés dans les établissements du secteur de Vic-sur-Aisne pourront ainsi, bénéficier de ces ateliers animés par les membres du Quatuor Mètis.
Informations pratiques
Date : vendredi 19 janvier - Horaire : 20h
Lieu : salle polyvalente de Vic-sur-Aisne Modalités d'accès : Entrée libre
Contact : Ecole de Musique Intercommunale de Villers-Cotterêts Carole David : 03.23.96.52.30 - ecoledemusique-intercommunale@retzenvalois.fr
lire sur le blog vuduchateau.com                  merci Laurence
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lundi 15 janvier 2018

SPECTACLE : LEON

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Joyeux et débridé, Léon est le récit autobiographique de la vie qu’aurait eu son auteur s’il avait fait d’autres choix !

C’est aussi la traduction théâtrale des aventures trépidantes d’un jeune facteur... ou c’est plutôt un bon moyen de s’interroger, sans risquer le mal de crâne, sur le moment où se décide « le métier que l’on fera quand on sera grand » !

Samedi 10 Février - 20h30
Médiathèque Alexandre Dumas - Entrée gratuite


Ce que l'on sait sur l'adolescent de 17 ans abattu à bout portant à Marseille

Un jeune homme de 17 ans a été tué par arme à feu dans le 10e arrondissement de Marseille, dimanche 14 janvier, peu avant trois heures.


Que s'est-il passé?
Plusieurs individus auraient sonné à la porte de la victime vivant dans une cité sensible, indiquent les enquêteurs.
Alors que sept adolescents jouaient à la console, l'un d'entre eux aurait ouvert et aurait été aussitôt touché par balles au niveau de la poitrine et du cœur.

L'arme du crime serait un fusil de chasse. Mais une seconde arme pourrait également être impliquée, précise La Provence.
Qui est la victime?
En arrêt cardiorespiratoire au moment de l'arrivée des secours, la victime n'a pas pu être réanimée. 
Le jeune garçon de 17 ans était connu des services de police pour infraction à la législation sur les stupéfiants et violences. 
Faits-Divershttp://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

samedi 13 janvier 2018

Accident Cramaille

Aisne-Info

L'accident vient de se produire 
Cramaille, D2 ferme de Cramoiselle.
Les sapeurs-pompiers sont engagés pour un accident de circulation, une voiture seule en cause

vendredi 12 janvier 2018

CÉRÉMONIE DES VŒUX à Villers Cotterêts

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Frank Briffaut, maire de Villers-Cotterêts, et son Conseil Municipal, ont présenté hier soir leurs meilleurs vœux lors de la traditionnelle cérémonie des vœux à la salle Marie-Louise Labouret.

mardi 9 janvier 2018

En plein cambriolage à Villers-Cotterêts, ils répondent au téléphone

Une jeune femme de 19 ans et sa mère ont réussi à mettre en fuite des cambrioleurs d’une manière originale, dimanche soir à Villers-Cotterêts. Il était aux alentours de 19 heures, quand des individus se sont introduits dans leur maison. La fille était alors présente, à l’étage.

Repartis bredouilles


Après avoir entendu les intrus pénétrer chez elle, l’habitante a discrètement prévenu sa mère, qui était sortie. Cette dernière a alors décidé de téléphoner sur le téléphone fixe de son domicile. Les cambrioleurs ont eu l’audace de répondre.

La maîtresse des lieux les a alors informés qu’ils étaient filmés par une caméra de surveillance. Cela les a convaincus de quitter les lieux. Ils avaient déjà pris la fuite à l’arrivée des gendarmes, mais ils sont repartis bredouilles. Une enquête a été ouverte.
En plein cambriolage à Villers-Cotterêts, ils répondent au téléphonehttp://www.aisnenouvelle.fr/61385/article/2018-01-08/en-plein-cambriolage-villers-cotterets-ils-repondent-au-telephone

lundi 8 janvier 2018

Voyage au cœur de l’usine Volkswagen de Villers-Cotterêts

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Avec près de 750 salariés, Volkswagen est le deuxième employeur privé du département de l’Aisne. Le siège français du groupe allemand est installé à Villers-Cotterêts depuis 1958. 10 000 véhicules y sont stockés.

e la belle auto en stock qui s’étale sur un site protégé impressionnant.


Toutes ces berlines capotées illustrent l’image de la présence historique de Volkswagen (« la voiture du peuple » selon la traduction de l’allemand) depuis plus d’un demi-siècle à Villers-Cotterêts. «  Après la Seconde Guerre mondiale, peu de communes voulaient accueillir un groupe automobile allemand  », rappelle l’actuel maire Franck Briffaut.


VW group France fait les beaux jours du sud de l’Aisne, en employant quelque 750 salariés pour la logistique, la concession, les prestataires et le service bancaire maison. 60 % de l’effectif est originaire de la région. Les cadres sont embauchés au niveau Master. Jusqu’à 10 000 voitures sont stockées sur la plateforme de Villers-Cotterêts. Les vastes hangars logistiques qui s’étendent sur 70 000 m2 proposent 470 000 références de pièces détachées différentes et provenant des cinq marques du groupe (dont Audi, Skoda, Seat et Bugatti), de la plus petite rondelle acheminée à l’unité à la plus rutilante portière.


5 500 colis sortent chaque jour de VW, une trentaine de camions également, mais aussi treize wagons puisque l’entreprise automobile est directement connectée à une ligne ferroviaire. Le ballet des chariots transpalettes est continu au milieu des rayonnages vertigineux. Les chiffres en disent long sur la puissance de frappe de ce site automobile, siège français du groupe allemand qui s’étend sur 45 hectares, dont 35 réservés au stockage.





« Ici, c’est notre entrepôt le plus performant d’Europe et les performances humaines sont bien meilleures que la robotisation »



Troisième sur le marché automobile français, VW est toujours « à la bagarre » avec Toyota pour la première place mondiale. Des mouvements de personnels, par le passé, du site de Villers-Cotterêts vers celui de Roissy, ont fait craindre une perte d’influence du siège basé dans l’Aisne. Il n’en est rien du tout, à en croire les dirigeants de l’entreprise.


« Ici, c’est notre entrepôt le plus performant d’Europe et les performances humaines sont bien meilleures que la robotisation, il n’y a donc pas de projet de remplacer les hommes », répond sans ambages Benoît Sys, le directeur des ressources humaines (DRH). Même ton rassurant du président du directoire, Thierry Lespiaucq : « En termes d’emplois, nous pensons accroissement plutôt que contraction. Nous sommes à + 11 % en quatre ans. »


L’âge moyen au sein du groupe est de 42 ans. « On recrute les personnels pour faire carrière avec nous et évoluer. Nous avons toute une liste d’attentes pour nos embauches et nos intérimaires repérés forment un vivier naturel », confie encore le DRH.


La fierté d’appartenir à un tel groupe n’est pas une posture. À l’image de Philippe, ce magasinier de 59 ans qui compte 42 ans d’ancienneté, et pense encore travailler quelques années. Et la culture d’entreprise est renforcée quand le président annonce que les partenariats sportifs sont renouvelés, par exemple avec la Fédération française de football ou avec l’organisation du Tour de France. Les voitures Skoda sur la caravane du Tour offrent une énorme visibilité au groupe.
Voyage au cœur de l’usine Volkswagen de Villers-Cotterêts http://www.aisnenouvelle.fr/61364/article/2018-01-08/voyage-au-coeur-de-lusine-volkswagen-de-villers-cotterets