dimanche 23 octobre 2016

Ouvrez l'œil en forêt près de Villers-Cotterêts, la chasse débute

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La saison de la chasse à courre a déjà repris et celle à tir doit débuter en novembre. Les promeneurs et ramasseurs doivent faire attention
L’automne est synonyme de retour de la chasse en forêt de Retz. La saison de la chasse dite « à tir » va débuter le 15 novembre et se poursuit jusqu’au 29 février (de 9 à 17 heures environ). Pour la vénerie, ou chasse à courre, la saison a déjà débuté et elle va durer jusqu’au 31 mars.

Une cartouche mortelle à 100 mètres

Actuellement, c’est une période délicate et dangereuse pour les chercheurs de champignons, de châtaignes, les photographes animaliers, les professionnels de la forêt ainsi que les promeneurs qui sont à pied, en vélo ou a cheval.
Ils peuvent en effet se trouver au milieu d’un des 14 lots de chasse à tir de la forêt de Retz. À ce sujet, il faut savoir que les armes de chasse ont une portée utile (distance à laquelle elle est mortelle pour le gibier) d’environ cent mètres, et une portée (distance à laquelle une balle peut retomber et donc blesser) allant de 1500 à 5000 mètres.
Pour éviter les risques avec des balles perdues, les chasseurs dépose aux bords des routes des différents lots de chasse de pancartes ou il est inscrit « chasse en cours ». Cette signalisation indique leur présence dans ce lieu.
Pour connaître le calendrier des jours de chasse de tous les lots ainsi que des cartes des 14 lots, rendez-vous sur le site internet de l’ONF dans la rubrique «Jours chassés Nord Pas-de-Calais Picardie».
Par téléphone, renseignements auprès de l’Office national des forêts (ONF) au 03 23 96 63 60.

http://www.lunion.fr/node/826491

jeudi 20 octobre 2016

Des fans de Batman parsèment de tags un quartier de Villers-Cotterêts

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Des inscriptions faisant référence à la série Gotham ont été retrouvées sur les murs du collège, d’une école et d’une garderie.
« Bienvenue à l’asile d’Arkham ». C’est le message, inscrit en lettres vertes, découvert mardi matin sur la façade du collège François-I er , à Pisseleux. L’asile d’Arkham, c’est là où sont enfermés les criminels souvent névrosés de Gotham, la ville de Batman. Au cours de la même nuit, une vingtaine de points d’interrogations ont été tracés avec la même bombe de peinture dans la cour de l’établissement scolaire.
D’autres endroits du quartier ont été touchés : une crèche et une école primaire de la Haute-Borne ont aussi été marquées de points d’interrogations.
http://www.lunion.fr/node/824789

samedi 15 octobre 2016

Le cinéma de Villers-Cotterêts de plus en plus fréquenté

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Vincent Oulaï est le responsable du cinéma de la ville.


Le nombre de spectateurs du cinéma de la ville est en augmentation. On le constate dans un rapport de la société Cinéode qui gère le cinéma

http://www.lunion.fr/135/region/aisne/soissons

jeudi 13 octobre 2016

Des marionnettes en spectacle à Villers-Cotterêts samedi

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Ce samedi 15 octobre à 16 heures sous chapiteau au Parc Salanson, un spectacle de marionnettes à fils va être proposé. Intitulé Le tour du monde en 80 jours, il est inspiré de l’œuvre de Jules -Verne.
C’est la compagnie Blin, l’une des plus anciennes de France qui fera voyager petits et grands autour du monde par une mise en scène poétique soutenue par de la musique et des éclairages très étudiés.
Une atmosphère dépaysante sera proposée pour ce tour du monde sera repris par la compagnie : des percussions indiennes accompagnent l’enterrement d’un maharadja, un grand orchestre d’opéra chinois, la fête des lanternes à Hong Kong et un solo de koto japonais, les évolutions des artistes du cirque Batulcar à Yokohama.
Plein tarif : 5,40 euros. Tarif réduit : 3,70 euros.
Renseignements au 03 23 96 55 02.
http://www.lunion.fr/node/820690

mardi 11 octobre 2016

Sophie Fournier, de l'aviation aux macarons

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Depuis trois ans, Sophie Fournier a quitté Air France pour devenir pâtissière. Chez elle à Vivières, elle a créé sa petite entreprise de production de macarons.
Elle a aménagé son laboratoire dans une pièce de la maison familiale, à Vivières. Sophie Fournier a créé sa micro-entreprise de production de macarons en janvier 2015. Sous le nom d’Obelias (offrande en grec ancien). Elle y fabrique elle-même, entièrement à la main, une moyenne de 700 macarons par semaine. Le café vient d’un torréfacteur laonnois, le safran d’Oigny-en-Valois, les confitures de Crouy, les œufs sont pondus dans un rayon de moins de 15 kilomètres… Presque tous les produits sont locaux et elle ne veut pas cuisiner avec des conservateurs ou arômes artificiels. « J’utilise des produits de très grande qualité qui se suffisent à eux-mêmes, avec des saveurs très franches. »

« Je fournissais déjà tous les pots de départ d’entreprise »

Âgée de 41 ans, la pâtissière a fait un virage à 180 degrés. Jusqu’en août 2013, elle était employée à la compagnie Air France, à l’aéroport de Roissy. Son dernier poste était à la « direction bagages ». Elle y est entrée il y a une quinzaine d’années après un BTS tourisme. « Quand je suis revenue de mon deuxième congé maternité en 2010, le travail en décalé était très dur à vivre. » Les trajets Vivières-Roissy étaient plus difficiles à supporter. « Je voulais apprendre un métier plus ancré dans la réalité, j’en avais assez de vivre à Roissy entourée de mécanisation. Et la politique de l’entreprise devenait difficile à assumer. J’ai cherché un métier pour lequel j’avais des prédispositions. Je fournissais déjà tous les pots de départ d’entreprise. Je suis très gourmande de nature et puis la pâtisserie, ça met tout le monde d’accord, quel que soit le milieu social. D’un coup, on laisse tomber les épaules et on redevient enfant. Il fallait trouver aussi un métier qui soit porteur. »
En août 2013, alors qu’elle avait entamé des démarches de reconversion, elle profite d’un plan de départs volontaires à Air France. Aussitôt, elle commence une formation et obtient son CAP Pâtisserie à l’école Ferrandi à Paris neuf mois plus tard. « Je ne trouvais pas de travail. C’est difficile pour une femme de 40 ans d’arriver dans ce milieu. » Elle décide donc de devenir auto-entrepreneur et y parvient grâce à plusieurs aides financières.

Un succès fou

Avant de se lancer, Sophie Fournier effectue une formation spéciale pour la fabrication de macarons. Pourquoi avoir choisi ce biscuit ? « On en a fait une fois en CAP, ça avait suscité un grand engouement. Le macaron offre une grande liberté de création, on peut faire n’importe quelle couleur et goût. Ça s’offre facilement, l’objet plaît. Quand j’ai commencé, ça a tout de suite énormément plu. » Il est vrai que le macaron est très à la mode. Les perspectives d’évolution seraient « exponentielles ». La pâtissière vend sa production chez elle, sur les événements exceptionnels comme la Fête du haricot et en livraison sur le secteur de Villers-Cotterêts.
Même si elle travaille parfois sept jours sur sept, avec un salaire pour le moment faible, Sophie Fournier ne regrette pas sa vie d’avant. « Au début, ça a été un choc de rester ici tout le temps. Mais j’étais là pour la rentrée de mon fils en CP, je peux récupérer mes enfants pour le déjeuner. Je suis contente rien que pour ça, avoir été là pour eux. »
La petite entreprise tourne mais est encore fragile. Ses clients deviennent souvent des fidèles. Sur les salons, certains, pour l’instant en majorité des particuliers, reviennent le lendemain pour acheter davantage de biscuits ! Le plus difficile pour elle est d’avoir confiance en soi. « Ça met du temps, c’est difficile de se vendre et de se sentir légitime. Au début, je n’osais pas vendre les macarons que je faisais ! » Un beau chemin a été parcouru depuis.
>> Le site internet d’Obélias

http://www.lunion.fr/node/819084

dimanche 9 octobre 2016

Une voiture au fossé à La Ferté-Milon

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Un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule, avenue de Verdun, à La Ferté-Milon, ce dimanche matin, vers 7 heures, alors qu’il venait du cœur de la commune. Il a été secouru par les pompiers et la voiture est restée dans le fossé en attendant le dépannage.
http://www.lunion.fr/node/818048

jeudi 6 octobre 2016

«Retz-en-Valois», nom proposé pour la nouvelle communauté de communes pour le fusion Villers-Cotterêts, Vic et les 12 communes du Clignon

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C’est le nom qu’Alexandre de Montesquiou, président de la Communauté de communes de Villers-Cotterêts Forêt de Retz (CCVCFR), Jean-Pascal BERSON, président de la Communauté de communes du Pays de la Vallée de l’Aisne (CCPVA) et les maires des 12 communes de la Communauté de communes de l’Ourcq et du Clignon (CCOC) proposeront à Nicolas Basselier, préfet de l’Aisne, le nom « Retz-en-Valois » pour la future Communauté de Communes fusionnée.
Celle-ci regroupera les 18 communes de la CCVCFR, les 24 communes de la CCPVA et les 12 communes de la CCOC ayant souhaité rejoindre. Cet ensemble comptera ainsi 54 communes et 30 023 habitants.
http://www.lunion.fr/node/816239

mercredi 5 octobre 2016

Le salon de la gastronomie de Villers-Cotterêts est annulé

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L’association Loisirs, culture et gastronomie qui organisait depuis plus de 20 ans le salon de la gastronomie de Villers-Cotterêts a dû annuler l’événement. Celui-ci devait avoir lieu les 15 et 16 octobre.
Ce n’est pas le surcoût lié aux nouvelles exigences de sécurité qui a provoqué cette décision mais un litige avec les gestionnaires du marché couvert
http://www.lunion.fr/node/815559

Chantal Lacourt et Daniel Mouligneaux, des époux en or de Villers-Cotterêts

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Le temps n’a pas eu d’emprise sur leur amour! Et pourtant, Chantal Lacourt et Daniel Mouligneaux se sont rencontrés… devant la pointeuse de l’usine «Bébé-Confort» où ils travaillaient tous les deux
http://www.lunion.fr/136/region/aisne/villers-cotterets

lundi 3 octobre 2016

Villers-Cotterêts: arrêté pour trafic de drogue, condamné pour délits routiers

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Dans la matinée du dimanche 25 septembre, un habitant de Villers-Cotterêts est intrigué par la présence d’un véhicule devant chez lui. À son bord, un homme semblant assoupi. Le Cotterézien compose alors le 17 et sollicite l’intervention de la gendarmerie. Une patrouille contrôle l’individu, qui se trouve être recherché par la brigade pour diverses infractions au code de la route.

Dissimulé sous des objets posés sur la banquette arrière, les militaires constatent la présence d’un produit présentant toutes les caractéristiques de l’héroïne. Poursuivant la fouille du véhicule, les enquêteurs découvrent un bloc d’un kilo de stupéfiants sous film plastique transparent. Après analyse, de l’héroïne, pour 1,3 kg.

À l’issue d’une garde à vue de quatre jours, le mis en cause de 22 ans est présenté jeudi 29 septembre devant le tribunal correctionnel de Soissons. Son avocat demande alors et obtient un report d’audience pour préparer sa défense. Toutefois, avec des peines à exécuter pour d’autres délits, le prévenu aux 24 mentions au casier est condamné à 14 mois de prison. Il repassera devant la justice le 13 octobre.
http://www.aisnenouvelle.fr/region/region-en-direct