Une ville pétrie d'histoire, qui constitue une destination attrayante, séduisant les franciliens.
dimanche 30 novembre 2014
samedi 29 novembre 2014
vendredi 28 novembre 2014
Léo-Lagrange claque la porte à Villers Cotterêts
Les mercredi et les vacances des petits Cotteréziens étaient animés par Léo-Lagrange. Cette fédération aurait souhaité que cela cesse fin 2014.
Ils étaient là depuis une dizaine d’années. Les animateurs de la Fédération Léo-Lagrange n’accueilleront plus les petits Cotteréziens en 2015. La nouvelle a été rendue publique lors du dernier conseil municipal. Cette délégation de service public prendra fin le 31 décembre 2014. Ce serait la volonté de la fédération (lire par ailleurs). Pourtant, un contrat de trois ans avait été signé entre la Ville de Villers-Cotterêts et cette organisation en 2012. Ce n’était pas le premier. La venue de Léo-Lagrange date de mai 2000 lorsque la commune a commencé à adopter le système de délégation de service public. Une interruption a été observée entre 2003 et 2006, Léo-Lagrange n’ayant pas remporté le marché à l’époque. Mais, depuis, cette structure assurait toutes les animations pour la jeunesse.
Trois permanents
Le mercredi après-midi, des accueils de loisirs primaires et maternelles sont ainsi proposés à la population. Des haltes-jeux ont également été mises en place afin d’accueillir les enfants pas encore scolarisés. Ils pouvaient fréquenter ces ateliers, à condition d’être accompagnés d’un adulte, chaque mardi et jeudi matin. Bien entendu, les vacances scolaires, petites et grandes, faisaient également l’objet d’animations assurées par le personnel de Léo-Lagrange. Une quantité importante de matériel était d’ailleurs à la disposition des animateurs et des enfants.
Trois permanents étaient employés par Léo-Lagrange toute l’année. S’ajoutaient des vacataires, employés par le biais de contrat d’engagement éducatif, pendant les vacances. Ils étaient deux ou trois pendant les petites vacances scolaires et une dizaine, soit six ou sept simultanément et les autres successivement, pendant l’été. Pendant cette période, entre 70 et 75 enfants fréquentaient les animations proposées. Ils étaient entre 45 et 60 pendant les « petites vacances ». Tout cela continuera. Seul l’employeur changera.
Les responsables de la fédération Léo-Lagrange, contactés avec insistance, n’ont pas souhaité répondre, pour l’instant, à nos questions.
Ils étaient là depuis une dizaine d’années. Les animateurs de la Fédération Léo-Lagrange n’accueilleront plus les petits Cotteréziens en 2015. La nouvelle a été rendue publique lors du dernier conseil municipal. Cette délégation de service public prendra fin le 31 décembre 2014. Ce serait la volonté de la fédération (lire par ailleurs). Pourtant, un contrat de trois ans avait été signé entre la Ville de Villers-Cotterêts et cette organisation en 2012. Ce n’était pas le premier. La venue de Léo-Lagrange date de mai 2000 lorsque la commune a commencé à adopter le système de délégation de service public. Une interruption a été observée entre 2003 et 2006, Léo-Lagrange n’ayant pas remporté le marché à l’époque. Mais, depuis, cette structure assurait toutes les animations pour la jeunesse.
Trois permanents
et 75 enfants
Le mercredi après-midi, des accueils de loisirs primaires et maternelles sont ainsi proposés à la population. Des haltes-jeux ont également été mises en place afin d’accueillir les enfants pas encore scolarisés. Ils pouvaient fréquenter ces ateliers, à condition d’être accompagnés d’un adulte, chaque mardi et jeudi matin. Bien entendu, les vacances scolaires, petites et grandes, faisaient également l’objet d’animations assurées par le personnel de Léo-Lagrange. Une quantité importante de matériel était d’ailleurs à la disposition des animateurs et des enfants.Trois permanents étaient employés par Léo-Lagrange toute l’année. S’ajoutaient des vacataires, employés par le biais de contrat d’engagement éducatif, pendant les vacances. Ils étaient deux ou trois pendant les petites vacances scolaires et une dizaine, soit six ou sept simultanément et les autres successivement, pendant l’été. Pendant cette période, entre 70 et 75 enfants fréquentaient les animations proposées. Ils étaient entre 45 et 60 pendant les « petites vacances ». Tout cela continuera. Seul l’employeur changera.
jeudi 27 novembre 2014
VILLERS-COTTERÊTS (02). Léo-Lagrange lâche le FN
Une délégation de service publique était confiée à la fédération Léo-Lagrange depuis 2006 pour l’animation des accueils de loisirs de la ville de Villers-Cotterêts. Le contrat avait été signé pour trois ans et se terminait fin 2015.
Cette fédération a annoncé son intention de cesser cette collaboration, indique le maire de Villers-Cotterêts, Franck Briffaut. Les représentants de Léo-Lagrange ont précisé que c’était pour des raisons idéologiques, poursuit le maire FN, élu en mars dernier. Il ajoute que les permanents pourront être réintégrés dans le personnel municipal s’ils le souhaitent. En tout état de cause, il assure que le service se poursuivra comme auparavant.
http://www.lunion.com/region/villers-cotterets-02-leo-lagrange-lache-le-fn-ia231b0n447032
Cette fédération a annoncé son intention de cesser cette collaboration, indique le maire de Villers-Cotterêts, Franck Briffaut. Les représentants de Léo-Lagrange ont précisé que c’était pour des raisons idéologiques, poursuit le maire FN, élu en mars dernier. Il ajoute que les permanents pourront être réintégrés dans le personnel municipal s’ils le souhaitent. En tout état de cause, il assure que le service se poursuivra comme auparavant.
http://www.lunion.com/region/villers-cotterets-02-leo-lagrange-lache-le-fn-ia231b0n447032
mercredi 26 novembre 2014
Article de l'Union sur la visite ministérielle et l'article de Libération :VILLERS-COTTERETS (02). "C’est la ville qui est pauvre, pas uniquement le quartier de Vivières"
Que pensez vous de cet article de L'UNION ?
Sur son site web, le quotidien Libération revient sur la visite ministérielle de la nouvelle secrétaire d’Etat chargée de la Politique de la ville, Myriam El-Khomri à Villers-Cotterêts.
Vendredi 21 novembre, elle s'est rendue dans la ville de l'Aisne tombée dans l'escarcelle du FN lors des dernières municipales.
Parmi les habitants rencontrés, Kamel, qui ne désespère pas être embauché à la mairie. Ou bien encore Gabriel qui, tous les samedis, regarde le football chez son voisin Maghrébin.
Tous ont peur de l'évolution de leur ville et craignent la désertification après la fermeture de plusieurs commerces.
La visite ministérielle, au pas de charge, a créé un peu d'animation dans la ville rapporte le quotidien. Et c'est tout.
http://www.lunion.com/region/villers-cotterets-02-c-est-la-ville-qui-est-pauvre-ia231b0n445322
mardi 25 novembre 2014
Article de Libération...A Villers Cotterêts ....visite ministérielle ... à lire et à commenter...
Je publie cet article de Libération...j'aimerais que des habitants de Villers le commentent et disent ce qu'ils en pensent ...merci !
REPORTAGE
La secrétaire d'Etat à la Ville s'est rendue vendredi à Villers-Cotterêts, dans l'Aisne, commune frontiste qui devrait bénéficier de l'aide de l'Etat pour un quartier prioritaire. Qu'en disent les habitants ?
Dans quelques mois, Villers-Cotterêts fera son entrée parmi les communes bénéficiant des crédits de la politique de la ville. Un signal fort pour ce patelin axonais de 10 000 habitants posé à 80 kilomètres de Paris, qui a élu un maire Front national, Franck Briffaut, en mars dernier. D’autant que la liste des quartiers dits prioritaires s’est largement réduite. On n’en compte plus que 1 300, contre 2 500 auparavant. Le gouvernement espère ainsi lutter contre le «saupoudrage» et concentrer ses efforts en fonction d’un critère unique : la concentration du taux de pauvreté. A Villers, c’est le quartier de la route de Vivières qui est apparu sur les radars des statisticiens de l’Insee, avec son taux de chômage de 23,6% pour les femmes et 17,5% pour les hommes. C’est là que la nouvelle secrétaire d’Etat chargée de la Politique de la ville, Myriam El-Khomri, s’est rendue ce vendredi. Pour y expliquer les vertus des futurs «contrats de ville», mais aussi rappeler «l’engagement de l’Etat» sur cette terre frontiste, exemple parmi d’autres de la «France périphérique» décrite par le géographe Christophe Guilluy.
11 heures du matin, au milieu du quartier de la route de Vivières. 2 900 personnes vivent là, dans des petites barres d’immeubles, six ou sept étages maximum. Kamel, 31 ans et un bébé de quelques mois, habite le quartier depuis dix ans. Il rêve d’en partir. «On a grandi dans la misère, mais on voudrait éviter ça à nos enfants. Mon fils, il va faire quoi ici ?» Cela fait «deux ou trois ans» que Kamel pointe au chômage. Avant, il a bossé comme cuistot dans des chaînes de restauration rapide ou des restos gastronomiques. Le jeune homme désigne un bâtiment tout neuf, à vingt mètres de là, la cantine scolaire. «J’ai déposé un CV à la mairie pour y travailler, mais on ne m’a jamais répondu.» Il n’a pas lâché l’affaire. En ce moment, il monte un dossier pour lancer son «camion-snack». Kamel est convaincu du potentiel de l’affaire. Dans le quartier, «il n’y a rien», à part la mosquée et un terrain multisport sorti de terre il y a quelque temps. Pas de café, ni de boulangerie ou de pharmacie.
La suite de l'article sur ce lien .... http://news.google.fr/news/url?sr=1&sa=t&ct2=fr%2F0_3_g_0_0_t&gid=LCL&bvm=section&usg=AFQjCNGeM68SsNWVcXDKHKYnPTTd042PGQ&did=-3197121154828550912&cid=52779139226558&ei=npN0VMG9KqbwiQbH9oH4AQ&rt=HOMEPAGE&vm=STANDARD&authuser=0&url=http%3A%2F%2Fnews.google.fr%2Fnews%2Furl%3Fsr%3D1%26sa%3Dt%26ct2%3Dfr%252F0_3_g_0_0_t%26gid%3DLCL%26bvm%3Dsection%26usg%3DAFQjCNGeM68SsNWVcXDKHKYnPTTd042PGQ%26did%3D-3197121154828550912%26cid%3D52779139226558%26ei%3DnpN0VMG9KqbwiQbH9oH4AQ%26rt%3DHOMEPAGE%26vm%3DSTANDARD%26authuser%3D0%26url%3Dhttp%253A%252F%252Fwww.liberation.fr%252Fsociete%252F2014%252F11%252F24%252Fa-villers-cotterets-le-chomage-le-racisme-et-la-visite-ministerielle_1149741%253Fxtor%253Drss-450
11 heures du matin, au milieu du quartier de la route de Vivières. 2 900 personnes vivent là, dans des petites barres d’immeubles, six ou sept étages maximum. Kamel, 31 ans et un bébé de quelques mois, habite le quartier depuis dix ans. Il rêve d’en partir. «On a grandi dans la misère, mais on voudrait éviter ça à nos enfants. Mon fils, il va faire quoi ici ?» Cela fait «deux ou trois ans» que Kamel pointe au chômage. Avant, il a bossé comme cuistot dans des chaînes de restauration rapide ou des restos gastronomiques. Le jeune homme désigne un bâtiment tout neuf, à vingt mètres de là, la cantine scolaire. «J’ai déposé un CV à la mairie pour y travailler, mais on ne m’a jamais répondu.» Il n’a pas lâché l’affaire. En ce moment, il monte un dossier pour lancer son «camion-snack». Kamel est convaincu du potentiel de l’affaire. Dans le quartier, «il n’y a rien», à part la mosquée et un terrain multisport sorti de terre il y a quelque temps. Pas de café, ni de boulangerie ou de pharmacie.
La suite de l'article sur ce lien .... http://news.google.fr/news/url?sr=1&sa=t&ct2=fr%2F0_3_g_0_0_t&gid=LCL&bvm=section&usg=AFQjCNGeM68SsNWVcXDKHKYnPTTd042PGQ&did=-3197121154828550912&cid=52779139226558&ei=npN0VMG9KqbwiQbH9oH4AQ&rt=HOMEPAGE&vm=STANDARD&authuser=0&url=http%3A%2F%2Fnews.google.fr%2Fnews%2Furl%3Fsr%3D1%26sa%3Dt%26ct2%3Dfr%252F0_3_g_0_0_t%26gid%3DLCL%26bvm%3Dsection%26usg%3DAFQjCNGeM68SsNWVcXDKHKYnPTTd042PGQ%26did%3D-3197121154828550912%26cid%3D52779139226558%26ei%3DnpN0VMG9KqbwiQbH9oH4AQ%26rt%3DHOMEPAGE%26vm%3DSTANDARD%26authuser%3D0%26url%3Dhttp%253A%252F%252Fwww.liberation.fr%252Fsociete%252F2014%252F11%252F24%252Fa-villers-cotterets-le-chomage-le-racisme-et-la-visite-ministerielle_1149741%253Fxtor%253Drss-450
Ils manifestent contre leur bailleur
VILLERS-COTTERETS (02). Un groupe de locataires, épaulés par l’association CNL de défense de leurs droits, se mobilise contre leur bailleur. En cause, les charges locatives
Depuis le mois de mars 2014, les locataires de la maison du Cil attendaient patiemment l’état liquidatif des charges locatives de 2013. La CNL, confédération nationale du logement, de Villers-Cotterêts a envoyé plusieurs courriers pour essayer d’accélérer la chose. Il a été répondu que la maison du Cil mettait en application un nouveau logiciel « pour être au plus près des locataires » ! Une seconde lettre de relance a été envoyée le 22 août et une réponse a été adressée le 13 octobre. Il y est expliqué que les charges seraient régularisées fin octobre, avec régularisation effective sur la quittance du mois de novembre.
Evidence d’une erreur
Or, les locataires de plusieurs résidences se sont rendu compte qu’il y avait une « grossière erreur ». Ainsi, dans la colonne charges appelées, il est tenu compte seulement d’un trimestre payé par les locataires. Un autre point n’est pas très clair, à savoir les charges totales pour la résidence Artois. Celles-ci s’élèveraient à 10 505,62 euros pour 2013 alors que la somme s’élevait à 18 901,49 euros en 2012. Cependant, les charges déjà payées en 2013 sont sensiblement identiques à celles de 2012. Pourtant, on demande une correction de 165 euros pour un F4 par exemple. Devant l’évidence d’une erreur, la CNL a demandé à la maison du Cil de prendre l’engagement solennel de ne pas prélever les sommes annoncées, puisque ces dernières sont erronées. D’autant que la plupart des gens viennent de payer leurs impôts et que c’est la période de Noël.Les locataires de la route de Vivières se sont rassemblés devant l’agence de la maison du Cil afin de manifester leur mécontentement. La maison du Cil vient de contacter la CNL afin d’éclaircir la question des charges locatives. Un rendez-vous doit être pris dès cette semaine. La CNL tiendra les locataires informés des suites réservées par information dans les immeubles.
CNL : 06 33 62 36 34
http://www.lunion.com/region/ils-manifestent-contre-leur-bailleur-ia3b26n444752
lundi 24 novembre 2014
Villers-Cotterêts : il y a péril en la demeure
Construit par Philibert de l'Orme vers 1530, le château de Villers-Cotterêts fut l'une des résidences préférées du Roi François Ier qui y venait régulièrement pour s'adonner à la chasse et à la paume. Il le baptisa même avec orgueil "Mon Plaisir".
La singularité du jeu de paume de Villers-Cotterêts tient à ce qu'il occupait une place centrale dans le château, les appartements royaux se trouvant tous agencés autour de ce court découvert dont il subsiste encore quelques vestiges.
Au XVIIIème siècle, le duc d'Orléans y fit construire un nouveau jeu de paume qui surpassait tous les jeux de paume encore en activité en France à cette époque.
Au début du XIXème siècle, le château est transformé, par décret de l'Empereur Napoléon Ier, en dépôt de mendicité de la ville de Paris, fonction qu'il a conservé jusqu'à nos jours.
Après une parenthèse longue de deux cents ans, la question du devenir de ce château et de ses jeux de paume, de sa vente éventuelle par l'Etat français ou bien de son intégration au sein des monuments nationaux, et partant de sa restauration, va donc se poser dans les prochains mois et sera suivie de près par ses défenseurs.
La place tenue par Villers-Cotterêts dans l'Histoire de France est en effet de première importance : c'est par l'ordonnance fondatrice d'août 1539 que François Ier impose l'usage du français dans tous les actes officiels et les décisions de justice du royaume. C'est cette même "ordonnance de Villers-Cotterêts" qui institue l'état civil en France, à travers la tenue des registres paroissiaux.
Mais la place du jeu de paume n'est pas moindre : si chacun connaît le Serment du Jeu de paume du 20 juin 1789, par lequel les représentants du Tiers état jurèrent solennellement de ne point se séparer sans avoir donné une Constitution à la France, il est difficile, pour nos contemporains, de mesurer l'importance réelle qu'eut ce jeu dans l'Europe du XVème et du XVIème siècle. De La Hire, compagnon d'armes de Jeanne d'Arc, capturé à Beauvais par le sire d'Offemont tandis qu'il jouait à la paume dans la cour d'une auberge, en passant par Charles d'Orléans, François Villon, Erasme, Rabelais, Charles IX qui joue au Louvre quand débute le massacre de la Saint-Barthélémy, jusqu'à Henri IV, en France, et à Henry VIII, en Angleterre, qui "chasse et rachasse" tandis que le bourreau abat sa hache sur la tête d'Anne Boleyn, tous d'adonnèrent à la paume, souvent avec ferveur, parfois avec fureur.
http://blogs.mediapart.fr/mot-cle/villers-cotterets
La singularité du jeu de paume de Villers-Cotterêts tient à ce qu'il occupait une place centrale dans le château, les appartements royaux se trouvant tous agencés autour de ce court découvert dont il subsiste encore quelques vestiges.
Au XVIIIème siècle, le duc d'Orléans y fit construire un nouveau jeu de paume qui surpassait tous les jeux de paume encore en activité en France à cette époque.
Au début du XIXème siècle, le château est transformé, par décret de l'Empereur Napoléon Ier, en dépôt de mendicité de la ville de Paris, fonction qu'il a conservé jusqu'à nos jours.
Après une parenthèse longue de deux cents ans, la question du devenir de ce château et de ses jeux de paume, de sa vente éventuelle par l'Etat français ou bien de son intégration au sein des monuments nationaux, et partant de sa restauration, va donc se poser dans les prochains mois et sera suivie de près par ses défenseurs.
La place tenue par Villers-Cotterêts dans l'Histoire de France est en effet de première importance : c'est par l'ordonnance fondatrice d'août 1539 que François Ier impose l'usage du français dans tous les actes officiels et les décisions de justice du royaume. C'est cette même "ordonnance de Villers-Cotterêts" qui institue l'état civil en France, à travers la tenue des registres paroissiaux.
Mais la place du jeu de paume n'est pas moindre : si chacun connaît le Serment du Jeu de paume du 20 juin 1789, par lequel les représentants du Tiers état jurèrent solennellement de ne point se séparer sans avoir donné une Constitution à la France, il est difficile, pour nos contemporains, de mesurer l'importance réelle qu'eut ce jeu dans l'Europe du XVème et du XVIème siècle. De La Hire, compagnon d'armes de Jeanne d'Arc, capturé à Beauvais par le sire d'Offemont tandis qu'il jouait à la paume dans la cour d'une auberge, en passant par Charles d'Orléans, François Villon, Erasme, Rabelais, Charles IX qui joue au Louvre quand débute le massacre de la Saint-Barthélémy, jusqu'à Henri IV, en France, et à Henry VIII, en Angleterre, qui "chasse et rachasse" tandis que le bourreau abat sa hache sur la tête d'Anne Boleyn, tous d'adonnèrent à la paume, souvent avec ferveur, parfois avec fureur.
http://blogs.mediapart.fr/mot-cle/villers-cotterets
dimanche 23 novembre 2014
samedi 22 novembre 2014
Les impôts locaux baisseront à Villers-Cotterêts les moyens financiers aussi
La municipalité annonçait, dans le débat d’orientation budgétaire, une nouvelle diminution de 1 % des taux des trois taxes locales.
Et de deux… baisses d’impôts consécutives pour la municipalité de Villers-Cotterêts. C’était la grande promesse de la campagne municipale de Franck Briffaut. Le maire frontiste l’avait tenue lors du budget en diminuant les taux de 1 % en avril dernier. Il réitère en annonçant, lors du débat d’orientation budgétaire de jeudi soir, la même réduction pour la taxe d’habitation, la taxe foncière, celle sur les propriétés bâties et celle pour le non bâti. C’était le 37e et dernier sujet à l’ordre du jour, mais sans doute le plus attendu, d’un conseil municipal réuni devant une salle comble et sous l’œil des caméras de France 3.
Oui, mais cette mesure représente seulement 3 € de moins à payer pour le propriétaire d’un F2 et quand même 50 000 euros, en tout, qui ne seront pas dans l’escarcelle municipale, faisait remarquer Norbert Poirier, pour l’opposition de gauche. Cet ancien adjoint aux finances avait fait le calcul : un peu plus d’un million d’euros sera soustrait, en tout, du budget cotterézien à, l’issue de la mandature. Désignant cette mesure comme « démagogique et dangereuse », il a dit s’attendre à une augmentation de ces taux avant la fin du mandat.
Lui-même avait déploré, en présentant les orientations budgétaires, « l’effet de ciseaux ». Faisant allusion à l’action gouvernementale, fustigée à plusieurs reprises au cours de la soirée, il a regretté : « On nous baisse les dotations et on nous fixe des missions supplémentaires ».
Jean-Claude Gervais était bien dans le même esprit, pour l’opposition de droite et trouvait l’exposé du maire « soft par rapport à avril ». Pour lui, la cagnotte municipale va « fondre comme neige au soleil ».
http://www.lunion.com/region/les-impots-locaux-baisseront-a-villers-cotterets-les-ia3b26n443745
Et de deux… baisses d’impôts consécutives pour la municipalité de Villers-Cotterêts. C’était la grande promesse de la campagne municipale de Franck Briffaut. Le maire frontiste l’avait tenue lors du budget en diminuant les taux de 1 % en avril dernier. Il réitère en annonçant, lors du débat d’orientation budgétaire de jeudi soir, la même réduction pour la taxe d’habitation, la taxe foncière, celle sur les propriétés bâties et celle pour le non bâti. C’était le 37e et dernier sujet à l’ordre du jour, mais sans doute le plus attendu, d’un conseil municipal réuni devant une salle comble et sous l’œil des caméras de France 3.
Oui, mais cette mesure représente seulement 3 € de moins à payer pour le propriétaire d’un F2 et quand même 50 000 euros, en tout, qui ne seront pas dans l’escarcelle municipale, faisait remarquer Norbert Poirier, pour l’opposition de gauche. Cet ancien adjoint aux finances avait fait le calcul : un peu plus d’un million d’euros sera soustrait, en tout, du budget cotterézien à, l’issue de la mandature. Désignant cette mesure comme « démagogique et dangereuse », il a dit s’attendre à une augmentation de ces taux avant la fin du mandat.
« Effet de ciseaux »
Le maire Franck Briffaut n’a pas contesté ces chiffres. Il a estimé être dans une volonté de stabilisation plutôt que de baisse. Il n’a d’ailleurs pas caché que cette diminution des taux ne serait pas forcément toujours possible. « On est encore en situation de le faire », a-t-il observé. Et de faire remarquer quant aux projets : « nous privilégions les investissements qui génèrent le moins de frais de fonctionnement possible ».Lui-même avait déploré, en présentant les orientations budgétaires, « l’effet de ciseaux ». Faisant allusion à l’action gouvernementale, fustigée à plusieurs reprises au cours de la soirée, il a regretté : « On nous baisse les dotations et on nous fixe des missions supplémentaires ».
Jean-Claude Gervais était bien dans le même esprit, pour l’opposition de droite et trouvait l’exposé du maire « soft par rapport à avril ». Pour lui, la cagnotte municipale va « fondre comme neige au soleil ».
http://www.lunion.com/region/les-impots-locaux-baisseront-a-villers-cotterets-les-ia3b26n443745
vendredi 21 novembre 2014
jeudi 20 novembre 2014
mercredi 19 novembre 2014
Retro 2010 / Villers-Cotterêts / «Secrets d'Histoire » Une émission fort appréciée
L'ÉMISSION « Secrets d'Histoire » présentée par Stéphane Bern, mercredi soir sur France 2, a mis en lumière Villers-Cotterêts, à travers son château François 1er. La plupart des Cotteréziens ont apprécié.
Habituellement, les émissions « Secrets d'Histoire » de Stéphane Bern nous emmènent dans des lieux fastes et magnifiques, domaines princiers et royaux. Pouvait-on espérer que notre château de Villers-Cotterêts, si historique soit-il, intégrerait une émission de ce niveau ? Et bien oui, Stéphane Bern a su montrer, « avec sa sensibilité, sans toutefois tomber dans le misérabilisme », l'état d'abandon de notre patrimoine.
Déshérence et chasse à courre
Sur le marché, ce jeudi, le sujet était dans bon nombre de conversations, et c'était l'unanimité : « Le ton était juste, les séquences choisies excellentes, les magnifiques restes mis en valeur, ainsi que les vues aériennes de ce chef-d'œuvre en péril »…
Les commentaires se ressemblaient et allaient tous dans le même sens, le rappel de la déshérence du château par Stéphane Bern, après avoir montré l'escalier « absolument magnifique », employant à plusieurs reprises les mots « restes » ou « abandon », « domaine des pigeons », a été sobre mais poignant, la peine des Cotteréziens devant cette situation est palpable, et ils espèrent que l'impact de cette émission, que tous affirment suivre assidûment, « réveillera la conscience des gens et aura d'heureuses répercutions ». Tous ont trouvé l'attitude de Stéphane Bern courageuse et sincère. Seuls quelques « anti chasse à courre » ont estimé que la part faite à cette activité était un peu trop importante, mais n'est-ce pas pour venir chasser que les rois ont fait construire ce château au milieu de la forêt et qu'ils y ont presque tous séjourné ?
http://www.lunion.com/
Habituellement, les émissions « Secrets d'Histoire » de Stéphane Bern nous emmènent dans des lieux fastes et magnifiques, domaines princiers et royaux. Pouvait-on espérer que notre château de Villers-Cotterêts, si historique soit-il, intégrerait une émission de ce niveau ? Et bien oui, Stéphane Bern a su montrer, « avec sa sensibilité, sans toutefois tomber dans le misérabilisme », l'état d'abandon de notre patrimoine.
Déshérence et chasse à courre
Sur le marché, ce jeudi, le sujet était dans bon nombre de conversations, et c'était l'unanimité : « Le ton était juste, les séquences choisies excellentes, les magnifiques restes mis en valeur, ainsi que les vues aériennes de ce chef-d'œuvre en péril »…
Les commentaires se ressemblaient et allaient tous dans le même sens, le rappel de la déshérence du château par Stéphane Bern, après avoir montré l'escalier « absolument magnifique », employant à plusieurs reprises les mots « restes » ou « abandon », « domaine des pigeons », a été sobre mais poignant, la peine des Cotteréziens devant cette situation est palpable, et ils espèrent que l'impact de cette émission, que tous affirment suivre assidûment, « réveillera la conscience des gens et aura d'heureuses répercutions ». Tous ont trouvé l'attitude de Stéphane Bern courageuse et sincère. Seuls quelques « anti chasse à courre » ont estimé que la part faite à cette activité était un peu trop importante, mais n'est-ce pas pour venir chasser que les rois ont fait construire ce château au milieu de la forêt et qu'ils y ont presque tous séjourné ?
http://www.lunion.com/
mardi 18 novembre 2014
lundi 17 novembre 2014
VILLERS-COTTERÊTS (02). La secrétaire d'Etat à la Ville en visite vendredi
Myriam El Khomri, secrétaire d’État chargée de la politique de la ville, se rendra à Villers-Cotterêts, vendredi 21 novembre, pour évoquer la nouvelle politique de la ville avec les acteurs politiques, économiques et associatifs locaux.
http://www.lunion.presse.fr/region/villers-cotterets-02-la-secretaire-d-etat-a-la-ville-ia231b0n441078
L’arrêt des travaux de la RN 2 inquiète
Alors que le Soissonnais se trouve dans une situation économique préoccupante, les élus s’inquiètent de l’arrêt du chantier de doublement de la RN2. Ils se remobilisent. Sur ce dossier, la patience des élus a atteint les limites de l’acceptable et le temps du dialogue touche à sa fin ». Jean-Marie Carré, le président de la communauté d’agglomération du Soissonnais, ressort les banderoles du placard. Après quatre années sans broncher, il se dit prêt à remobiliser les troupes, comprenez les élus du Soissonnais et de l’Oise concernés par le doublement de la RN 2 dont ces territoires ont tant besoin. Si le projet est enterré, le Soissonnais aussi. Tous les signaux sont au rouge : les chantiers sont au point mort (sauf celui de l’échangeur de Montgobert, pris en charge par le conseil général), le programme a deux ans de retard et l’écotaxe est définitivement passée à trépas. « En quelques mois les recettes liées à l’écotaxe sont passées de 1,15 milliard d’euros, puis à 600 millions, lorsque fut évoqué le péage de transit de poids lourds, pour aujourd’hui être réduites à une peau de chagrin de 320 millions. Dans ce contexte, je m’interroge très fortement sur les moyens alloués et au devenir des travaux ». Par expérience, Jean-Marie Carré a des raisons d’être méfiant. Si, depuis 2009, l’État a donné des gages en lançant enfin des travaux, il n’en a pas toujours été ainsi. Le doublement de la RN 2 est réclamé depuis près de quarante ans. Il aura fallu à des élus dont ce n’était pourtant pas forcément la culture, descendre dans la rue, sur le bitume de la Nationale, pour manifester leur colère. Soissons est en effet la seule ville située à 100 km de Paris et n’ayant pas d’autoroute. Un handicap pour attirer les entreprises. Et pour conserver celles existantes, à Villers-Cotterêts par exemple, où il y a le plus gros employeur de l’Aisne, Volkswagen.
Le président de la communauté de communes de la forêt de Retz, Alexandre de Montesquiou, partage les inquiétudes de son collègue soissonnais. « Quand on a eu confirmation de l’arrêt de l’écotaxe, on a vu les travaux s’arrêter », fait-il observer. « S’il faut se remobiliser, on le fera, mais je ne suis pas sûr qu’on obtiendra des réponses. »
Les derniers travaux réalisés sont ceux du pont au-dessus de la voie de chemin de fer (Paris-Laon) à Vaumoise, achevés cet été. Depuis, plus rien. Dans ce secteur largement déboisé, la végétation va rapidement reprendre ses droits
http://www.lunion.presse.fr/region/departements/aisne/soissons
Le président de la communauté de communes de la forêt de Retz, Alexandre de Montesquiou, partage les inquiétudes de son collègue soissonnais. « Quand on a eu confirmation de l’arrêt de l’écotaxe, on a vu les travaux s’arrêter », fait-il observer. « S’il faut se remobiliser, on le fera, mais je ne suis pas sûr qu’on obtiendra des réponses. »
Les derniers travaux réalisés sont ceux du pont au-dessus de la voie de chemin de fer (Paris-Laon) à Vaumoise, achevés cet été. Depuis, plus rien. Dans ce secteur largement déboisé, la végétation va rapidement reprendre ses droits
http://www.lunion.presse.fr/region/departements/aisne/soissons
dimanche 16 novembre 2014
samedi 15 novembre 2014
vendredi 14 novembre 2014
Fime ton quartier et passe à la TV !
Filme ton quartier : le concours des... par ftv-nouvelles-ecritures France 3 lance un grand concours et vous propose de prendre la parole, votre caméra et de filmer votre quartier, tel que Vous le voyez. En 3 minutes 30 ! Les 10 meilleurs films seront diffusés sur France 3.
Vous connaissez toute l'histoire de votre quartier, votre ville, ou votre village. Vous l’aimez ? Vous le détestez ? L’image de votre quartier dans les médias ne vous convient pas ?
Prenez votre caméra et réalisez votre film documentaire de 3 minutes 30. Le concours est ouvert entre le 14 novembre 2014 à 10h00 au 16 février 2015 à 12h00.
Qui est le jury ?
Du 16 février 2015 au 16 avril 2015 inclus, un comité composé de collaborateurs des équipes documentaires de France 3 et des Nouvelles Ecritures (tels que conseillers de programme, conseillers éditoriaux aux Nouvelles Ecritures…) (ci-après « le Comité de sélection »)se réunira afin de sélectionner 30 documentaires parmi l’ensemble des vidéos envoyées par les Participants avant les date et heure limite de participation sur le Site, sous réserve de la validité de leur participation.jeudi 13 novembre 2014
mercredi 12 novembre 2014
lundi 10 novembre 2014
séance spéciale JOHNNY S’EN VA-T’EN GUERRE
Dans le cadre du CENTENAIRE 14-18 , Les Clubs se joignent à l’événement en vous proposant une séance spéciale JOHNNY S’EN VA-T’EN GUERRE mardi 11 novembre à 16H!!!
Avec en avant-séance <<LES GUEULES CASSÉES>>
Si vous n’avez jamais vu ce C...HEF D’ŒUVRE DU 7ème ART, ou si vous désirez le revoir sur grand écran ne manquez pas cette unique séance (Interdit aux moins de 12 ans)!
Durant la Première Guerre mondiale, un jeune soldat est blessé par une mine : il a perdu ses bras, ses jambes et toute une partie de son visage. Il ne peut ni parler, ni entendre, ni sentir mais reste conscient. Dans la chambre d'un hôpital, il tente de communiquer et se souvient de son histoire…
Avec en avant-séance <<LES GUEULES CASSÉES>>
Si vous n’avez jamais vu ce C...HEF D’ŒUVRE DU 7ème ART, ou si vous désirez le revoir sur grand écran ne manquez pas cette unique séance (Interdit aux moins de 12 ans)!
Durant la Première Guerre mondiale, un jeune soldat est blessé par une mine : il a perdu ses bras, ses jambes et toute une partie de son visage. Il ne peut ni parler, ni entendre, ni sentir mais reste conscient. Dans la chambre d'un hôpital, il tente de communiquer et se souvient de son histoire…
dimanche 9 novembre 2014
VILLERS-COTTERÊTS (02). La boulangerie fermée après l’incendie
Un feu s’est déclaré, vers 1 heure, dans un logement situé au 3e étage d’un immeuble, au-dessus de la boulangerie située au cœur de Villers-Cotterêts. Les flammes ont totalement ravagé ce local du 5 rue de Verdun mais n’ont pas touché le commerce. Néanmoins, il restera fermé par mesure de sécurité, au moins jusqu’au passage des experts, comme l’expliquait ce matin la boulangère, Martine Chéron.
http://www.lunion.presse.fr/region/villers-cotterets-02-la-boulangerie-fermee-apres-ia231b0n436102
http://www.lunion.presse.fr/region/villers-cotterets-02-la-boulangerie-fermee-apres-ia231b0n436102
samedi 8 novembre 2014
vendredi 7 novembre 2014
jeudi 6 novembre 2014
mercredi 5 novembre 2014
mardi 4 novembre 2014
lundi 3 novembre 2014
Le viel homme et la mer
J'ai beaucoup de souvenirs de mon collège de la place Lesur et de mes professeurs mais j'ai des souvenirs émouvants de mon école primaire de Villers Cotterêts … Guise doit savoir où je suis passé … car je suis un guisard de par mon adolescence ! Comme on dit des militaires entre nous de nulle part mais de partout … le France est notre patrie ….
je me souviens .... l'école de la rue Démoustier...
Tous les après midi nous avions droit à une petite bouteille de lait... qu'il fallait boire rapidement car l'école n'attend pas...du lait oui mais du savoir encore plus... mais j'aimais le lait alors je le dégustais chaque après midi avec plaisir...Merci monsieur Mendès France !!!
Un souvenir également...une claque magistrale à la récréation par la directrice...elle avait sa classe juste à côté de celle de Monsieur Berlizot... pourquoi une claque ? alors que je sortais des WC où j'étais allé faire pipi, elle a cru que je me baladais dans les WC pour les salir.... j'étais trop innocent pour faire des trucs pareils... Quand vous avez été élevé par mon père, vous ne vous aventurez pas à faire des bêtises à l'école... !!!
Encore un souvenir ... et celui là je vais vous le faire partager ...
Un film qui nous a été présenté à l'école...j'en suis sorti très triste pour l'acteur principal...j'étais gosse et le malheur des gens nous touchent ...car nous vivons intensément les histoires... voici ce film ... enfin un extrait, il est sorti en 1958 ...j'avais 11 ans...
je me souviens .... l'école de la rue Démoustier...
Tous les après midi nous avions droit à une petite bouteille de lait... qu'il fallait boire rapidement car l'école n'attend pas...du lait oui mais du savoir encore plus... mais j'aimais le lait alors je le dégustais chaque après midi avec plaisir...Merci monsieur Mendès France !!!
Un souvenir également...une claque magistrale à la récréation par la directrice...elle avait sa classe juste à côté de celle de Monsieur Berlizot... pourquoi une claque ? alors que je sortais des WC où j'étais allé faire pipi, elle a cru que je me baladais dans les WC pour les salir.... j'étais trop innocent pour faire des trucs pareils... Quand vous avez été élevé par mon père, vous ne vous aventurez pas à faire des bêtises à l'école... !!!
Encore un souvenir ... et celui là je vais vous le faire partager ...
Un film qui nous a été présenté à l'école...j'en suis sorti très triste pour l'acteur principal...j'étais gosse et le malheur des gens nous touchent ...car nous vivons intensément les histoires... voici ce film ... enfin un extrait, il est sorti en 1958 ...j'avais 11 ans...
Le vieil homme et la mer
dimanche 2 novembre 2014
samedi 1 novembre 2014
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