La venue du chanteur italien pourrait « faire un four ». À la veille du concert,
il resterait près de 400 places disponibles sur… 886 !
Jocelyn Dessigny l’avoue : « C’est vrai, il reste des places. » L’élu Front national, adjoint au maire délégué aux associations, fêtes et cérémonies, sait que la venue d’Umberto Tozzi risque d’être un échec. Et pour cause, à la veille du concert, il resterait encore près de 400 places disponibles sur 886.
Le fameux rendez-vous automnal, mis en place il y a quatorze ans par la municipalité de droite de Renaud Bellière, pourrait même être remis en cause si la vedette italienne faisait un four. « Il faut savoir que ces concerts coûtent de l’argent. Pour Umberto Tozzi, le coût se monte à 40 000 €, mais l’année dernière lorsque nous avons fait venir la Tournée des années 80 (Emile & Images, Thierry Pastor, Julie Pietri…), qui a été un succès, nous avons déboursé environ 45 000 € pour des rentrées estimées à 30 000 €. Si les rentrées ne sont pas suffisantes cette fois, il faudra peut-être étudier la question différemment pour l’année prochaine », explique Jocelyn Dessigny.
Pour ce qui est des raisons de l’échec annoncé du concert, les avis divergent. Selon l’élu cotterézien, la crise économique explique le désintérêt : « Cette année, les gens sont touchés par la crise et les spectacles en pâtissent. » Un argument battu en brèche par Jean-Claude Pruski, l’ancien maire de gauche : « Les années précédentes, c’était déjà la crise, et ça réussissait. »
n autre élu, Jean-Claude Pierre, pense plutôt que c’est la personnalité d’Umberto Tozzi qui joue : « Il chante en italien et est peut-être moins connu. Nous, nous avions fait venir des artistes populaires français comme Maxime Le Forestier, Marc Lavoine, Alain Souchon, Bernard Lavilliers, Pierre Perret, Patrick Fiori… »
http://www.lunion.com/node/567141
Jocelyn Dessigny l’avoue : « C’est vrai, il reste des places. » L’élu Front national, adjoint au maire délégué aux associations, fêtes et cérémonies, sait que la venue d’Umberto Tozzi risque d’être un échec. Et pour cause, à la veille du concert, il resterait encore près de 400 places disponibles sur 886.
Le fameux rendez-vous automnal, mis en place il y a quatorze ans par la municipalité de droite de Renaud Bellière, pourrait même être remis en cause si la vedette italienne faisait un four. « Il faut savoir que ces concerts coûtent de l’argent. Pour Umberto Tozzi, le coût se monte à 40 000 €, mais l’année dernière lorsque nous avons fait venir la Tournée des années 80 (Emile & Images, Thierry Pastor, Julie Pietri…), qui a été un succès, nous avons déboursé environ 45 000 € pour des rentrées estimées à 30 000 €. Si les rentrées ne sont pas suffisantes cette fois, il faudra peut-être étudier la question différemment pour l’année prochaine », explique Jocelyn Dessigny.
Pour ce qui est des raisons de l’échec annoncé du concert, les avis divergent. Selon l’élu cotterézien, la crise économique explique le désintérêt : « Cette année, les gens sont touchés par la crise et les spectacles en pâtissent. » Un argument battu en brèche par Jean-Claude Pruski, l’ancien maire de gauche : « Les années précédentes, c’était déjà la crise, et ça réussissait. »
n autre élu, Jean-Claude Pierre, pense plutôt que c’est la personnalité d’Umberto Tozzi qui joue : « Il chante en italien et est peut-être moins connu. Nous, nous avions fait venir des artistes populaires français comme Maxime Le Forestier, Marc Lavoine, Alain Souchon, Bernard Lavilliers, Pierre Perret, Patrick Fiori… »
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